samedi 30 janvier 2016

Vendredi 5 février 2016 à 21h00 Lunel-Viel, Salle Antoine Roux


RAY LEMA
Nzimbu
Ray Lema (voix, guitare, piano), Fredy Massamba (voix), Ballou Canta (voix), Rodrigo Viana (guitare)
Ray Lema, l’un des pères de la musique centrafricaine moderne, poursuit l’exploitation d’un minerai précieux de l’immense Congo : ses chants traditionnels. Sans percussion, afin d’en révéler la puissance mélodique, mais en y apportant une certaine modernité avec les accents groove de son piano et les riches lignes harmoniques ciselées par le guitariste brésilien Rodrigo Viana.
Pour ce concert à Lunel-Viel, il a convoqué deux de ses complices, Ballou Canta et Fredy Massamba, nouvelle star de la chanson congolaise. Avec «Nzimbu», ces chanteurs aux timbres complémentaires s’expriment essentiellement en kikongo, la langue de cette ethnie, très rythmique. Nzimbu c’est trois générations de voix réunissant les deux Congos, quand la forêt des pygmées rencontre la rumba de Kinshasa, le rap et le hip-hop de Brazzaville.
 
Tarifs : 15 euros /  13 euros
Renseignements et ventes de billets : 04 66 80 30 

jeudi 28 janvier 2016

LA MACHINE À REMONTER LE JAZZ samedi et dimanche 30/31 janvier


LA MACHINE À REMONTER LE JAZZ
  verso
DATE : Du Samedi 30 janvier 2016 au dimanche 31 janvier 2016
HORAIRE : Samedi 30 et dimanche 31 janvier à 16h
TARIF : Tarifs : 12 € tout public, 8 € adhérent du Télémac ou FNCTA, 6 € enfant moins de 12 ans, étudiant et demandeur d'emploi.
Un spectacle de théâtre musical interactif pour sensibiliser les enfants au Jazz, avec Elsa SCAPICCHI et Patrick PELLET.

Adèle a reçu un bien étrange héritage de sa grand-mère… Une machine à remonter le temps qui marche à l’énergie musicale.

Venez découvrir le voyage extraordinaire d’Adèle et de son ami Louis dans l'univers du jazz. Nos deux compères nous relatent leurs rencontres, de Duke à Django en passant par bien d’autres grands musiciens de Jazz…

Ponctué d’humour, de rebondissements, de swing et de scats délirants, ce spectacle interactif de théâtre musical permettra à toutes les petites oreilles de découvrir de grands standards incontournables, traduits en français, mais aussi les sonorités de différents instruments hétéroclites comme la trompette, le banjo, le tuba ou la contre-bassine…

Une aventure drôle et pétillante à souhait, à travers plus d’un siècle de musique empreinte de métissage et de liberté, à offrir aux enfants et aux plus grands comme la plus délicieuse des sucreries…

Réservations par téléphone ou par courriel : theatretelemac@aol.com   04 66 21 07 60

mardi 26 janvier 2016

Jazz Corner Cafe Sommières concert samedi 30 janvier

30
JAN
sam 21:00Jazz Corner CaféSommières
9 invités
7 personnes aiment ça.
Commentaires
Jazz Corner Café ATTENTION!!! Dernières places pour le buffet + concert (28€)
Les entrées simples (8€) n'auront pas besoin de réserver, sous réserves de places disponibles (les 1ers arrivés seront les 1ers servis)🍷

Du Grand Jazz The BRIDGE au Subito Nîmes le mercredi 3 février à 19h


Erik Truffaz Quartet à Paloma Nîmes , le mercredi 3 février à 19h

http://paloma-nimes.fr/evenement/erik-truffaz-quartet/


Erik Truffaz Quartet

Erik Truffaz Quartet est avant tout une entité collective  formée en 1997. Désormais c’est un nouveau casting, une nouvelle énergie et un nouveau son; après 3 ans d’absence discographique, le nouvel Erik Truffaz Quartet est de retour.
Toujours à la frontière ténue du Jazz et de la Pop instrumentale, toujours sur le fil, entre originalité et accessibilité, le Erik Truffaz Quartet, fidèle à une tradition établie depuis de nombreux albums, invite deux voix à cette communion des mots et des notes : Rokia Traoré (victoire de la musique 2009, Jury du festival de Cannes 2015) etOxmo Puccino (victoire de la musique 2010 et 2013). La chanteuse malienne viendra envoûter trois chansons de son timbre doux et mystérieux, alors que Oxmo Puccino, ami de longue date que l’on trouvait déjà sur le dvd « Paris Tour », posera sa voix sur un titre.


mardi 19 janvier 2016

Prochain concert : Ichiro Onoe quartet



  Le Jazz Est Là entame avec 2016 sa 8 ème année d'existence. Ce rendez-vous jazz sera le 60ème et déjà le 7ème au Domaine du Prieuré d'Estagel, lieu que le public affectionne particulièrement compte tenu de l'atmosphère exceptionnelle qu'il offre.
RESERVATION POSSIBLE ET CONSEILLEE dès maintenant.   lejazz.estla7@gmail.com   04 66641025


     Ceux qui étaient au concert de Katy Roberts (juin dernier) n’ont pas oublié la grande sensibilité musicale du batteur Ichiro Onoe dont le jeu fin et mélodique avait captivé le public. Longtemps sideman de musiciens prestigieux et aussi de chanteurs et chanteuses comme Joe Lee Wilson, Mina Agossi, voire de Jane Birkin (de 2011 à 2013), le batteur apporte à chaque projet une authentique couleur rythmique. Cette fois, il vient avec son propre quartet pour interpréter ses compositions écrites tout au long de son parcours musical qui a commencé au Japon, là où il a justement composé « Wind Child » titre de son récent album. Entouré de trois musiciens de talent : Geoffrey Secco sax ténor, Ludovic Allainmat piano et Harry Swift contrebasse, il expose les émotions et couleurs de sa vie.

lundi 18 janvier 2016

L'Académie du Jazz souffle le chaud et la foi


(MISE À JOUR : )
Le Théâtre du Châtelet accueillera le 8 février 2016 le Best Of du jazz de l’année 2015, en l’occurrence le gratin des musiciens primés par l'Académie du Jazz pour leur travail. L’Académie? Rien d’un conglomérat de fauteuils verts percés par les ressorts. Bien au contraire. Respectée pour l’indépendance des 62 membres du collège électoral (les lauréats passent rarement après un seul tour), son intégrité et sa compétence, l’association présidée par François Lacharme, fondée (entre autres) par Jean Cocteau en impose. La preuve de sa vitalité? Musicologues, journalistes, animateurs radio, enseignants, s’y écharpent. Mais se respectent. Et si d’aventure les noms d’oiseau circulent, c’est pour la seule allusion au plus grand saxophoniste alto de l’histoire du jazz, Charlie Parker, surnomméBird. Les racines de l’Académie plongent dans la mémoire du jazz. J’ai déjeuné l’autre jour avec le doyen de la bande. Le satrape André Francis participa en 1954 à la création de l’institution. Il anime encore activement les travaux (ce jour de décembre 2016, la Commission Livres). Quand le puits de souvenirs m’a raconté verre de blanc à la main comment il a couvert un concert de Parker à Paris, un frisson s’est promené.
Le lundi 8 février, page supplémentaire. Spécialement remplie pour le 60ème anniversaire. Huit superstars ouvriront la soirée. Le nom des huit prix Django Reinhardt lâche la bride à tous les rêves. Honneur à la paire de dames. Airelle Besson (trompette), Géraldine Laurent (saxophone alto ). Puis Simon Goubert (batterie), Stéphane Guillaume (saxophones), Eric Le Lann (trompette), Pierrick Pedron (saxophones), Henri Texier (contrebasse), enfin René Urtreger (piano). Ce dernier, frais comme un barracuda, incontestable devant le clavier, décrocha le prix en... 1961.
Suivra en seconde partie le fantastique Duke Orchestra dirigé par Laurent Mignard! Quand je réalise que la France honore notre bon maître Duke Ellington comme aucune nation au monde, je me sens fier de grenouiller sur le territoire. Trois invités de marque monteront sur la scène du big-band : John Surman (saxophones), Jean-Luc Ponty (violon), Sanseverino (guitare). Apesanteur pressentie.
Entre les deux prestations, l’Académie annoncera les résultats. Une occasion unique : celle d’assister à plusieurs feux d’artifice en même temps.
Bruno Pfeiffer
Théâtre du Châtelet, le lundi 8 février.
Crédit photo : Airelle Besson © ahenrot.net

mardi 12 janvier 2016

Vendredi 29 janvier 2016 à 21h00 Ganges, Théâtre Albarède VINCENT PEIRANI / EMILE PARISIEN DUO









Vendredi 29 janvier 2016 à 21h00
Ganges, Théâtre Albarède
VINCENT PEIRANI / EMILE PARISIEN DUO
Belle époque
Nommés révélation de l'année pour l'un et artiste de l'année pour l'autre aux Victoires du Jazz 2014, Prix Django Reinhardt en 2013 pour l'un et en 2014 pour l'autre, Peirani et Parisien forment un joli duo de provinciaux montés à Paris à qui tout réussit!Entre l'accordéoniste Vincent Peirani et le saxophoniste Emile Parisien, tous deux trentenaires surdoués, le courant (d'air) passe. Conçu au départ comme un hommage à Sidney Bechet et à l'enfance du jazz, Belle Epoque est  surtout un grand moment de découverte musicale, d'harmonies imprévisibles, et de jeu en liberté et en relief. Les deux hommes retrouvent l'esprit de l'époque où le jazz était une musique joueuse et populaire, à la fois virtuose et légère. Et ils vont plus loin, font valser Fellini et Tati, se prennent pour une fanfare au complet, inventent le free-musette, multiplient les acrobaties et les loopings, sans jamais tourner en rond ni sombrer dans une froide abstraction.Dialogue vif de deux oiseaux rares pendant la saison des amours, ca sent le printemps 

VINCENT PEIRANI / EMILE PARISIEN DUO

Vendredi 29 janvier 2016 à 21h00
Ganges, Théâtre Albarède
Plein tarif : 12 €
Tarif réduit : 6 €
Prévente : €

mercredi 6 janvier 2016

Paul Bley, génie du jazz, est mort


Paul Bley au bois de Vincennes, à Paris, en 1973.
Paul Bley au bois de Vincennes, à Paris, en 1973. DUTILH / ©DALLE APRF

Fils adoptif d’immigrants, Paul Bley est né à Montréal, au Québec, le 10 novembre 1932. Il vient de mourir à Cherry Valley (Etat de New York), le 3 janvier.
En art, Paul Bley, ce serait Paul Klee ; en poésie, Guillaume Apollinaire ; en musique, Mounir Bachir. Excès de joie ? Berlue ? On vient d’entendre, ce 5 janvier, à 19 h 56, le dernier album, Memoirs, donné à écouter par Alex Dutilh (« Open Jazz », France Musique) : Paul Bley (piano), Charlie Haden (contrebasse), Paul Motian (percussions). Année ? 1991. Contrepoint ? La guerre du Golfe. Imaginons ! Dans un monde de brutes, trois anges prévenus se mettent à jouer. Cela donne Memoirs. Douceur. Finesse. Etreinte des silences infinis. Soudain quelque fusée. Des enfants.
En écoutant Memoirs, il ne viendrait à l’idée de personne – même pas d’un baudet du Poitou à la saison des amours – de parler de « free jazz ». Et le Canada ? C’est marrant, quand on y songe. Voici une insaisissable contrée de vertu et de neige, qui se permet d’apporter au « jazz » un peu moins de dix acteurs de premier plan. Moins de dix, mais qui en valent mille : Oscar Peterson (vu ?), Gil Evans (excusez du peu), Paul Bley, tous pianistes hors piano, hors normes, hors jazz. Pile au centre. Ajoutons, histoire d’agacer, Maynard Ferguson et Diana Krall. Cela commence à faire du monde. Ils n’étaient rien, mais, mine de rien, ils auront beaucoup changé. Tel est le jazz.

www.lemonde.fr/musiques/article/2016/01/06/paul-bley-genie-du-jazz-est-mort_4842325_1654986.html#qUQpkvYXjuLMvi7F.99

Concert Jazz Corner Cafe Sommières le jeudi le 7 janvier



Jazz Corner Café a changé sa photo de couverture.
8 h


JEUDI JAM #3
1er set: Hommage à Bill Evans
avec
Daniel Moreau (piano)
Michel Altier (contrebasse)
Michael Santanastasio (drums)
2ème set: JAM SESSION
A disposition: sono & piano
Amenez vos instruments et/ou micro...
Entrée libre
Réservations de tables conseillées:
04 66 35 42 83 / contact@jazzcornercafe.com
Service normal de 17h à 00h

vendredi 1 janvier 2016

Mort de la chanteuse soul américaine Natalie Cole

http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2016/01/01/mort-de-la-chanteuse-soul-americaine-natalie-cole_4840825_3382.html

image: http://s2.lemde.fr/image/2016/01/01/534x0/4840823_7_6537_natalie-cole-lors-de-la-ceremonie-des-latin_714af5d8400b8a2821b3c8192f854872.jpg
Natalie Cole lors de la cérémonie des Latin Grammy Awards à Los Angeles en 2013.
Natalie Cole lors de la cérémonie des Latin Grammy Awards à Los Angeles en 2013.ROBYN BECK / AFP

La chanteuse soul américaine Natalie Cole, fille de la légende du jazz Nat King Cole, est morte à l’âge de 65 ans, a annoncé sa famille vendredi 1er janvier. Elle est morte jeudi d’une insuffisance cardiaque dans un hôpital de Los Angeles après des complications dues à une greffe de rein.

« Natalie a mené une féroce et courageuse bataille, mourant comment elle a vécu… avec dignité, force et honneur. Notre mère et sœur bien aimée nous manquera beaucoup et restera inoubliable dans nos cœurs pour toujours »,écrivent dans un communiqué son fils, Robert Yancy, et ses sœurs, Timolin et Casey Cole.

Un duo virtue


concert Cratère Alès le lundi 11 janvier



Lundi 11 janvier 2016 à 20h30
Alès, Le Cratère
ROMANO / SCLAVIS / TEXIER
Aldo Romano (batterie), Louis Sclavis (clarinette) et Henri Texier (contrebasse)
Au tout début des années 90, le créateur de la Semaine de jazz de Brazaville réunit, sous la houlette du photographe Guy Le Querrec, trois monstres sacrés : Romano, Sclavis, Texier. Pendant trois semaines ils sillonnent six pays de l’Afrique centrale. L’aventure débute. Le plus célèbre trio du jazz français vient de naître et connaît dès lors un formidable succès public qui ne se démentira jamais.  Quatre ans plus tard, ils repartent sur les routes, cette fois, de l’Afrique du Sud et de l’Afrique de l’Est. On connaît la suite. Ces trois-là auront signé en trois albums réalisés sur une période de 10 ans, parmi les plus belles plages du jazz moderne français.C’est une musique joyeuse, tonique, nourrie des multiples expériences de ces musiciens qui ont côtoyé les plus grands et qui a fait siennes les influences venues de tous les continents. C’est une musique unique, reconnaissable entre toutes, profonde et légère et qui marie de façon incroyable, la tradition américaine, l’âme européenne, la finesse de l’Asie et le rythme de l’Afrique. C’est le plaisir et le privilège de retrouver ces trois virtuoses en corps à corps avec leurs instruments, en communion totale avec le public. C’est un voyage toujours trop vite arrêté où on est embarqué par la force de l’énergie qui circule, la puissance du dire, l’invention, la maîtrise de l’expression et qui nous laisse béats de bonheur.